KALEIDOSCOPE 6 – L’ENFANT, CET ABSENT REMARQUABLE
Dans un roman de 527 pages, même réparties entre trois narrateurs, et faisant intervenir à des degrés divers une trentaine de personnages (quoique certains d’entre eux ne soient mentionnés qu’une seule fois et n’apparaissent que brièvement), il est toujours tentant de repérer des catégories d’individus unis par un lien social, idéologique ou encore psychologique. Mais, en procédant de la sorte, on manque parfois des catégories plus considérables qui devraient pourtant … Lire la suite